Monde

11 avril 2018

Union européenne, espace Schengen pour les forces de l'Otan

Quels étaient les camps sur le terrain lors de ces élections ? D’une part, il y avait les supporteurs de l’intégration européenne et de l’OTAN, d’autre part les partisans de la souveraineté nationale.

Les analystes de tous poils soulignent combien les résultats de dimanche sont un véritable tremblement de terre... Imprévisible ? Pas vraiment. Depuis quatre ans les indices d’une victoire du M5S et de la Lega ont émergé.

Pendant ces presque 20 années de révolution bolivarienne, il y a eu au Venezuela cinq ambassadeurs américains et d'innombrables « chargés d'affaires » irrespectueux des décisions populaires et pratiquant une ingérence manifeste dans les affaires intérieures du Venezuela

Tibisay Lucena, présidente de la commission électorale, a annoncé le 1er mars 2018 que l’élection présidentielle vénézuélienne aura lieu pendant la seconde quinzaine du mois de mai.

L’accélération, ces tout derniers jours, de l’étranglement du Venezuela laisse présager des mauvaises intentions étatsuniennes.

Le secrétaire général de la Fédération Syndicale mondiale devait se rendre aux États-Unis en mars 2018 pour assister à des événements à New-York et à Los Angeles... mais les Etats-Unis ont refusé son visa...

Les néolibéraux et leurs chiens de garde (presse mainstream, ONG « droits de l’Hommistes », etc.) ont la « défense des libertés » sélective.

Le 22 janvier 2018, les ministres des Affaires étrangères des 28 pays membres de l'Union européenne (UE) ont adopté de nouvelles sanctions financières à sept hauts responsables vénézuéliens s'alignant ainsi sur les positions des Etats-Unis.

Après les élections, les résultats ont montré que Salvador Nasralla, le candidat de l'Alliance contre la dictature, avait remporté les élections présidentielles avec une belle avance. Mais, avec l'approbation des USA, de nombreuses irrégularités ont été commises par le Tribunal Électoral du Honduras, institution contrôlée par le président actuel.