Social

Larguer les amarres pour rompre avec l’européisme

La mobilisation sociale large, populaire et durable pour barrer la route de Macron, agent zélé de l’eurolibéralisme que l'on aurait pu attendre n'a pas eu lieu. Pas étonnant puisque les causes de l’austérité et de la destruction de l’Etat ne sont jamais mises en question.

SNCF : le gouvernement nous enfume avec la dette !

Le gouvernement a mis sur la table des négociations avec les organisations syndicales sa prise en charge d’une partie de la dette de la SNCF. Une entourloupe de première puisque cette opération est rendue obligatoire par le statut de la forme EPIC de la SNCF.

Le 26 mai, un nouveau départ ?

Il y a quelque chose de doublement historique dans l’appel à manifester partout en France le 26 mai. D’une part, pour la première fois, la confédération CGT a accepté de participer à une réunion avec des partis politiques, D’autre part, ce 26 mai sera presque jour pour jour le treizième anniversaire de la victoire du NON au référendum du 29 mai 2005 sur la constitution européenne.

Le statut des Industries électriques et gazières

A l’heure où le gouvernement s’attaque au statut de la SNCF, il est bon de revenir sur le statut des IEG (industries électriques et gazières), lui-même mis à mal à coup de signature d’accords par des organisations syndicales réformistes appartenant toutes à la Confédération européenne des syndicats (CES).

Le plan de Macron et de l’UE pour détruire l’hôpital public

Le plan Macron s’inscrit dans les politiques régressives des trente dernières années. Mais si le président de la République est bien l’exécutant zélé et enthousiaste de la libéralisation en cours, il n’en reste pas moins que la main de fer est celle de l’Union européenne.
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